Les terres à l’étude : d’où viennent-elles ?


 Nous avons rassemblé plusieurs types de terres afin de mieux connaître les possibilités qui s’offrent à nous pour les différentes étapes de notre chantier.

  • Trois terres proviennent du terrain de notre terrassier, à différentes profondeurs et emplacements. Cela nous permet d’explorer les variations possibles au sein d’un même lieu.

  • Deux autres terres viennent du sud de la France, rapportées de Châteauneuf-les-Martigues (terre grise/jaune) et de Vitrolles (terre rouge/ocre). C’est aussi une manière d’expérimenter la fabrication dans un climat plus sec et plus venteux, qui pourrait faciliter le séchage.

  • Enfin, une dernière terre jaune/blanche claire provient d’une carrière locale, récupérée à partir du lavage des graviers. C’est la boue issue du processus de nettoyage, mais comme elle subit potentiellement un traitement, nous devons nous renseigner sur sa composition et la présence éventuelle de produits chimiques. D’un point de vue intuitif, cette terre ne nous a pas laissées indifférentes : elle suscite un intérêt mitigé, que nous souhaitons éclaircir par des analyses futures.

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